« Par rapport à une planète en danger, une économie dans les pays matures assez atone, la peur du chômage, on se recentre sur son chez soi », indique Florence Soyer, qui dirige le pôle grande consommation à l’IFOP.
L’offre de bricolage et de décoration s’est étoffée, tandis que le développement des émissions de décoration à la télévision favorisent aussi le secteur, indique-t-elle.
Deux tiers des bricoleurs qui se considèrent comme expérimentés sont des hommes.
À la question de savoir pourquoi ils ne bricolent pas plus souvent, 67 % des sondés invoquent leur manque de compétence, 47 % font appel à un tiers (conjoint ou professionnel), 38 % ne disposent pas du bon matériel et 37 % manquent de temps.
[via] lavoixdunord.fr