Le salon Studyrama des Études Supérieures, s’ouvre au Parc Chanot ce vendredi 6 décembre à 14 heures et s’étend jusqu’à samedi 7 décembre à 18 heures. Un rendez-vous de plus de 600 formations, de bac à bac +5.
Les jeunes connaissent la chanson, « Passe ton bac d’abord ! ». Fac de médecine, BTS Assurance, école de commerce : une fois le sésame en poche, vers quelle formation se diriger ?. C’est dans cette optique que le salon Studyrama des Études Supérieures qui s’ouvre aujourd’hui et jusqu’à demain au Parc Chanot, est là pour tenter de guider les lycéens vers leur avenir professionnel.
« La plupart des formations sont accessibles après le bac. Ce ne sont pas les possibilités qui manquent », affirme Fabrice Chéron, directeur régional de Studyrama. La première étape, c’est d’anticiper. Les étudiants en Terminale ont jusqu’en mai pour formuler leurs voeux de formation sur le site internet « Admission Post Bac ». Mais pas de panique. L’Officiel Studyrama sera remis à chaque visiteur dès l’entrée du salon, véritable mode d’emploi des études supérieures.
Le premier paramètre à prendre en compte pour y voir plus clair est la durée. « Si l’on n’a pas un goût prononcé pour les études, mieux vaut se diriger vers une formation courte et efficace type DUT ou BTS », conseille Fabrice Chéron.
« Est-ce que j’apprécie d’être encadré ? » est la question qu’il faut se poser ensuite. Si la réponse est oui, une école, une prépa ou un BTS sont les options à envisager. Si l’on préfère être autonome, mieux vaut s’orienter vers une fac. Mais attention à savoir gérer cette nouvelle liberté.
« L’important est de penser aux débouchés à long terme », assure le directeur régional de Studyrama. Parmi les secteurs qui embauchent en ce moment : l’informatique, le domaine de la banque et de l’assurance, le tourisme et la restauration, le e-commerce, le secteur de l’audit et du conseil, la santé, le commerce, le transport logistique et l’énergie, véritable gisement d’emplois.
« Il faut arrêter la sinistrose », recommande Fabrice Chéron. « De nombreux domaines recrutent encore, pas besoin de s’expatrier pour trouver du travail ».
[via] laprovence.com